Bretagne – Les chansons de Bodrel – Un marin qui pleure

Carte Postale Ancienne652

Bretagne – Les chansons de Bodrel Illustrées Collection E. Hamonic – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Bretagne – Les chansons de Bodrel Illustrées Collection
E. Hamonic Dos simple – non circulé
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Un jour, sur un gros navire – vive le vent vive vire
Vire au vent, vire ,vire – La veuve embarqua son gas, le marin ne revient pas. 
Fit voeu de faire un navire – Vire au vent, vire,vire. De l’offrir à St Yvon patron de ceux qui s’en vont. Jean-Baptiste-Théodore-Marie Botrel est né le 14 septembre 1868. Il décède le 26 juillet 1925 à Pont-Aven. Souvent décrié et rejeté aux oubliettes par certains Bretons, il restera quand même pour beaucoup l’emblème d’un certain folklore Breton

 

 

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Les Chansons de Botrel Illustrées – Le Voeu à saint Yves

Carte Postale Ancienne649

Les Chansons de Botrel Illustrées – Le Voeu à saint Yves

Bretagne – Les chansons de Bodrel Illustrées
Collection E. Hamonic
Dos simple – non circulé
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Botrel est né le 14 septembre 1868 à Dinan, passant de petits métiers en petits métiers, en travaillant comme serrurier, imprimeur, coursier et grouillot chez un avoué. Après son passage aux 41e de ligne à Rennes, il sera réformé et se retrouve à Paris. Ces escapades du soir, l’emmèneront dans les cabarets de Montmartre et commencera sa carrière de chanteur compositeur. Le décor est trouvé la Bretagne sera définitivement son terrain de prédilection et deviendra rapidement un chanteur à la mode. Les grands succès se succèdent et le plus grand sera certainement la chanson de « La Paimpolaise ». Il décède le 26 juillet 1925 à Pont-Aven. Souvent décrié et rejeté aux oubliettes par certains Bretons, il restera quand même pour beaucoup l’emblème d’un certain folklore Breton.

 

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Les Chansons de Botrel Illustrées – Le Voeu à saint Yves

Les Chansons de Botrel Illustrées - Le Voeu à saint Yves

Les Chansons de Botrel Illustrées – Le Voeu à saint Yves

Bretagne – Les chansons de Bodrel Illustrées
Collection E. Hamonic
Dos simple – non circulé
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Petit rappel pour tous ceux qui ne connaissent pas Botrel. Jean-Baptiste-Théodore-Marie Botrel est né le 14 septembre 1868 à Dinan, passant de petits métiers en petits métiers, en travaillant comme serrurier, imprimeur, coursier et grouillot chez un avoué. Après son passage aux 41e de ligne à Rennes, il sera réformé et se retrouve à Paris. Ces escapades du soir, l’emmèneront dans les cabarets de Montmartre et commencera sa carrière de chanteur compositeur. Le décor est trouvé la Bretagne sera définitivement son terrain de prédilection et deviendra rapidement un chanteur à la mode. Les grands succès se succèdent et le plus grand sera certainement la chanson de « La Paimpolaise ». Il décède le 26 juillet 1925 à Pont-Aven. Souvent décrié et rejeté aux oubliettes par certains Bretons, il restera quand même pour beaucoup l’emblème d’un certain folklore Breton.   

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Sauvons la Bretagne avant qu’il ne soit trop tard

Le dernier vieillard des environs de-St-Brieuc portant lancien costume du pays

Le dernier vieillard des environs de St-Brieuc portant l’ancien costume du pays

Bretagne (Collection E.Hamonic, St Brieuc)
Le dernier vieillard des environs de St-Brieuc portant l’ancien costume du pays
dos séparé – non circulé
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C’est sur que l’on ne voit plus d’anciens se promener dans les rues de St Brieuc avec ce costume. Mais si on ne trouve pas rapidement une solution pour sauver les emplois et l’économie en Bretagne… même les jours de fête ces costumes resteront dans les placards.

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La boutique du marchand de Cheveux dans le Morbihan

La boutique du marchand de Cheveux-Morbihan

La boutique de marchand de Cheveux-Morbihan

2639  –  La Boutique de marchand de Cheveux (Morbihan)
Scène de Foire – Collection E Hamonic,  SB 
dos séparé – non circulé
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Ce sont les paysannes qui donnent leurs cheveux pour l’enjolivement des dames riches. C’est parmi les classes pauvres, ignorantes souvent de leurs magnifiques parures naturelles, qu’on doit aller chercher ces trésors soyeux aux quatre coins de la France. La cérémonie se passe les jours de grandes fêtes et jours de foire, c’est par la coquetterie que le marchand de cheveux attire les passantes et les convainc de lui vendre leurs cheveux. C’est rarement une somme d’argent qu’il leur offre en échange, mais quelque menu ornement de toilette, un fichu en toile, un bonnet neuf et léger. Les paysannes hésitent, tentées, incertaines, timides. Le marchand est tellement engageant; il parle si bien et sur tout il parle si haut, qu’une des écouteuses s’avance, se décide. Elfe choisit parmi les colifichets qui l’attirent et l’émerveillent, puis défait sa coiffe, laisse ses cheveux se dérouler sur ses épaules. Les paquets de cheveux s’entassent dans le sac de l’acheteur de chevelures, le lendemain il fera une autre localité proche, et ainsi de suite, tant que durera la saison de cette moisson d’un nouveau genre.
Et elle se fait de mai à juin et de septembre à novembre six mois avec un mois d’interruption pour la vraie moisson en Vendée, en Bretagne, en Normandie, en Limousin, en Auvergne et dans les Pyrénées. Ce n’est toutefois pas sans de multiples apprêts, on le devine, que les cheveux passent de la tête de leurs propriétaires à celle des poupées de cire et des perruquiers.

Le petit Parisien de 1900

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