76 – Ourville – Seine-Maritime – la Grande rue – jeunes filles

76-Seine-Maritime-la grande rue-jeunes filles

76 – Ourville – Seine-Maritime – la Grande rue – jeunes filles

1101- Ourville – la Grande rue 
Le Littoral  Seine – inférieure 
éditeur LJ 
Dos séparé -circulé à découvert en 1912
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Ourville en 1911 est une charmante ville de 1021 habitants, située à 18 kilomètres d’Yvetot sur la ligne de chemin de fer « Dieppe au Havre ». 
Le Maire à cette époque est le Conte Robert d’Arantot , son juge de paix est Monsieur Goupil, le Notaire est Monsieur Fréville, l’huissier s’appelle Monsieur Geneviève et les pompiers sont commandés par le capitaine Leclerc.

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Carte Postale Ancienne de Caudebec-Lès-Elbeuf-La Poste

76-Seine-Maritime-Caudebec-les-elbeuf-La poste

Caudebec-les-elbeuf-La poste

72 – Caudebec-lès-elbeuf-La poste
Phototypie G.G
Dos séparé – circulé à découvert
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Caudebec-Lès-Elbeuf est en 1910 une ville de 9407 habitants administrée par le maire Monsieur Prevel (P), située à 20 kilomètres de Rouen dans le département de la Seine-Maritime en région Haute-Normandie et à 134 kilomètres de Paris.
Comme d’habitude à cette époque le photographe est une attraction souvent très attendue, c’est encore le cas sur cette carte postale ou les postiers et passants posent sagement devant la poste.

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Paris-Inondation de janvier 1910 – Les Pontonniers rue de Bourgogne

Paris-Innondation 1910-Les Pontonniers rue de Bourgogne

Paris – Inondation 1910-Les Pontonniers rue de Bourgogne

5 – Paris-Inondation de janvier 1910
 Les Pontonniers rue de Bourgogne
éditeur M.M 
dos séparé – circulé à découvert
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Le Gaulois du 3 février 1910 par un article ‘Tout-Paris, rend hommage à ces Pontonniers, en voici le texte.

NOS PONTONNIERS
Les pouvoirs publics ont déjà rendu un éclatant Hommage au dévouement, à l’héroïsme simple dont nos petits troupiers ont fait preuve au cours des jours sinistres que nous venons de traverser;

Paris et sa banlieue leur conserveront une éternelle reconnaissance pour le secours qu’ils ont apporté sans compter aux sinistrés, pour les vies innombrables qu’ils ont préservées, pour les catastrophes plus épouvantables encore qu’ils ont conjurées. Partout, sur les joints les plus menacés de la grande ville et des environs, on les a vus à l’œuvre jour et nuit, alertes, infatigables, conservant malgré tout leur bonne humeur native, cette qualité nationale de notre armée qui l’a si heureusement soutenue en tant de circonstances difficiles.

Parmi les troupes qui ont pris part a la lutte, contre la terrible inondation, nous devons mettre au premier rang les pontonniers dont le dévouement a été au-dessus de tout éloge
A Alfortville, à Gennevilliers, dans les quartiers les plus atteints de Paris, ils ont fait merveille. Un habitant d’une des communes les plus éprouvées de la banlieue nous racontait hier avec quelle activité, quelle prestesse ils rétablissaient les communications, ils jetaient en une heure à peine des ponts de fortune que n’eût pas désavoués le plus habile des ingénieurs.

Nos pontonniers n’en sont pas, on le sait, a leur coup d’essai. Il a un siècle a peine qu’ils existent en tant que corps spécial.et pourtant nul corps de troupe ne peut présenter un historique plus glorieux, plus abondant en actions d’éclat !  il nous faudrait un gros volume pour en refaire même succinctement, les annales. On a vu des pontonniers pendant les grandes guerres de la Révolution et de l’Empire, aux fameux.passages du Rhin, du Danube, de la Vistule, en Allemagne, en Italie, en Espagne, en Russie. C’est pendant cette dernière campagne qu’ils nous donnèrent les preuves  les plus éclatantes de leur indomptable courage et de leur savoir faire, comme l’atteste le nom glorieux de la Bérézina inscrit en lettres d’or sur leur drapeau  

 

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Carte Postale Ancienne de Cany-Barville – Enfants Sur la Durdent

76 - Seine-Maritime - Cany-Sur la Durdent - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

76 – Seine-Maritime – Cany-Sur la Durdent – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

277  –  Cany ( S.-inf.) – Sur la Durdent
éditeur Leclerc, phot à Cany
dos séparé – circulé à découvert en 1910
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Avec cette semaine de chaleur comme il serait agréable de se tremper ses pieds dans l’eau de la Durdent, comme le font ces enfants des années 1900.
Cany-Barville est en 1910 unes villes traversées par la Durdent sur la route de Dieppe au Havre, à 24 kilomètres de d’Yvetot dans le département de la « Seine inférieure » (qui deviendra le 18 janvier 1955 le département de la « Seine-Maritime « .
Les 1701 habitants de cette époque ont comme maire Monsieur Lecoq, le marché est en place tous les lundis et la fête patronale est organisée le premier dimanche du mois de mai.

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Paris – l’Orage du 15 juin à Paris – Les Canalisations mises à nu rue du havre

Paris- l'orage du 15 juin a paris-les canalisations rue du havre

Paris- l’orage du 15 juin a paris-les canalisations rue du havre

 l’Orage du 15 juin à Paris 
Les Canalisations mises à nu rue du havre
éditeur ELD – ( Ernest Louis le Deley )
dos séparé – circulé à découvert
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Dans l’après-midi du lundi 15 juin un effroyable ouragan s’est déclenchée sur la région parisienne, un orage d’une violence inouïe, sans précédent peut-être dans nos régions. 
Pendant plusieurs heures, des trombes d’eau se sont abattues sur la capitale, transformant les chaussées en torrents, pénétrant dans les caves, inondant tout.
Dès trois heures, le tonnerre avait commencé à gronder, les averses de pluie, mélangée de grêle, se succédaient presque sans interruption. L’épaisseur des nuages était telle qu’il avait fallu allumer le gaz ou l’électricité dans les magasins et les cafés.
Vers cinq heures et demie, après une accalmie, la tempête se déchaîna, Ie vent calme jusque-là se mit à souffler avec une vitesse qui atteignit quarante-cinq kilomètres au sommet de la tour Eiffel. En même temps, des éclairs fulgurants zébraient le ciel, les coups de tonnerre éclataient presque sans interruption.
Dans les rues, les passants fuyaient, éperdus, cherchant un refuge n’importe où Fiacres, autobus, tramways se trouvaient gênés dans leur marche, à tel point que qu’aucuns s’arrêtaient le long des trottoirs, abandonnés par leurs conducteurs.Cela dura pendant près d’une heure et demie… Au bureau central météorologique on mesura, au pluviomètre, une hauteur de 50 millimètres  d’eau… Bientôt on apprenait que, sur le parcours de la ligne métropolitaine en construction n° 8, de terribles effondrements s’étaient produits en plusieurs endroits du centre de Paris. ( à l’angle de la rue de la Boétie et de la rue du Faubourg-Saint-Honoré, avenue d’Antin, place Saint-Augustin et rue du havre à l’angle du boulevard Haussmann.
Il y avait des victimes. Combien ? à l’heure actuelle on n’est pas encore fixé sur leur nombre.

  » Petit Parisien du 16 juin 1914″

Cette catastrophe entrainera la mort de 12 personnes..

 
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