Illustrateur POULBOT – Conduisez-moi c’ t’engagé à sa mère, il est trop p’tit

Carte-postale-Ancienne- Illustrateur POULBOT-059

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Conduisez-moi c’t’engagé à sa mère, il est trop p’tit 
Poulbot N°60 – A, Ternois, éditeur 56 rue d’Aboukir Paris – Visé 60
Dos séparé – non circulé
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Suite de cette série de l’illustrateur Poulbot sur le patriotisme vu par Poulbot pour atteindre la victoire de cette Première Guerre mondiale.
Conduisez-moi c’t’engagé à sa mère, il est trop p’tit 

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Romagne-sous-Montfaucon – Petite Rue – Lafontaine et le Moulin

Romagne-sous-Montfaucon-Petite-rue-Lafontaine-et-le-Moulin

Romagne-sous-Montfaucon – Petite Rue – Lafontaine et le Moulin – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Romagne-sous-Montfaucon – Petite Rue – Lafontaine et le Moulin
editeur François, Buraliste à Romagne-sous-Montfaucon
dos séparé – non circulé 
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Allons faire un petit tour à Romagne-sous-Montfaucon, petite commune  située dans le département  de la Meuse à 30 km de Montmédy et 44 Km de Verdun en région Lorraine. Dans les années 1910 le maire des 478 habitants de Romagne-sous-Montfaucon est monsieur Leclerc. En 1910 Romagne compte deux fabriques de galoches tenues par Mr Lombard et Simon et quatre fabriques de sabots gérés par Mr Briére, Mr Hanse (J), Mr Huard et  Mr Hanse (N). Le Meunier est Mr Gatelet. A noter que le château de Romagne était la propriété de Mr David ( M). Bien sur on ne peut pas parler de Romagne-sous-Montfaucon et de cette région sans se rappeler les terribles combats de la guerre de 1914/1918. Le Cimetière américain

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Illustrateur POULBOT – M’ zelle ! elle dit que mon filleul a des grand pieds

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M’ zelle ! elle dit que mon filleul a des grand pieds 
Poulbot N°29 – A, Ternois, éditeur 56 rue d’Aboukir Paris – Visé 29
Dos séparé – non circulé
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Suite de cette série de l’illustrateur Poulbot sur le patriotisme vu par Poulbot pour atteindre la victoire de cette Première Guerre mondiale.
M’ zelle ! elle dit que mon filleul a des grand pieds 

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Carte Postale Ancienne – Tout Paris – Le Charmeur d’Oiseaux du Parc Monceau

Carte-Postale-Ancienne-Tout-Paris

Carte Postale Ancienne – Tout Paris – Le Charmeur d’oiseaux du Parc Monceau

 

Tout Paris – 1628 –  Le Charmeur d’Oiseaux du Parc Monceau
Collection F.Fleury
Dos séparé-circulé à découvert en 1908
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Cette collection Tout Paris est vraiment exceptionnelle, à chaque fois que l’on rencontre ces cartes on ne peut pas s’empêcher de rêver au Paris des années 1900. Aujourd’hui un charmeur d’oiseaux qui s’était installé dans le parc Monceau. Dès qu’il arrivait dans une des allées du jardin, Pierrots et Pierrettes, ces gamins de l’air, se précipitaient vers le charmeur, abandonnant les arbres sur lesquels ils étaient perchés. Ils les connaissaient si bien ! D’abord, ils s’emparaient des miettes que le charmeur jetait de côté et d’autre, puis ils s’enhardissaient, ils sautillaient sur ses épaules, sur ses bras, sur sa tète même, et ils lui arrachaient les boulettes de pain qu’il roulait entre ses doigts, que parfois il tenait entre ses lèvres. Et vous pensez si, pendant ce banquet pittoresque, les oiseaux piaillaient, hochaient la queue, battaient des ailes ! Et on voyait les passants aussitôt arrêtés, émerveillés et souriants, regardant avec admiration, au milieu de cette ronde de moineaux en l’été, ce brave homme qui, d’un geste de semeur, jetait à ses convives ailés les miettes du festin !  

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Bethune – Groupe de Charitables – Confrérie des Notables et Commerçants de la Ville

Bethune-Groupe-de-Charitables

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3  – Bethune-Groupe-de-Charitables – Confrérie des Notables et Commerçants de la Ville qui enterrent leurs concitoyens gratuitement ( fondée en 1188 à la suite d’une épidémie qui sévissait dans la région)
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La confrérie des charitables du Béthunois fut établie en 1188, année où une épidémie de peste s’abattit sur Béthune et Beuvry. Le 21 septembre, jour de la Saint Mathieu, deux maréchaux-ferrants se rencontrent à la source de Quinty, située à la limite des communes. Ils ont une céleste vision : Saint Eloi, patron des forgerons dit « Bras de fer », leur demande de fonder une « karité », c’est-à-dire une confrérie pour assister les pauvres, soigner les malades et inhumer les corps pour éloigner les épidémies. Ils sont rejoints par les habitants de Béthune et Beuvry pour accomplir leur tâche. La confrérie des charitables continue

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