Histoire de l’Aviation – l’aéroplane Farman de 1910

Histoire de l'Aviation - l'aéroplane Farman de 1910

Histoire de l’Aviation – l’aéroplane Farman de 1910

Histoire de l’Aviation – l’aéroplane Farman de 1910
Carte N° 88  – Photo S.A.F.A.R.A reproduction interdite
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Le biplan Maurice Farman de 1910 mesure 11 m. d’envergure, 12 m.745 de longueur totale, 50 m² de surface  portante et pèse nu, sans moteur, 320 kilos. La vitesse en air calme dépasse 80 kilomètres à l’heure. Deux panneaux porteurs proprement dits d’égale étendue et de même forme, rectangulaire , à coins arrondis surtout en arrière, de 11 mètres de largeur transversale x 2 m. de longueur au sens de la marche, légèrement concaves intérieurement, la corde de l’arquée faisant avec l’horizon un angle de Continuer la lecture

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Histoire de l’aviation – Le 31Décembre 1910 – l’aviateur JOHN MOISANT fait une chute mortelle

Histoire de l'aviation - Le 31Décembre 1910 - l'aviateur JOHN MOISANT fait une chute mortelle

Histoire de l’aviation – Le 31Décembre 1910 – l’aviateur JOHN MOISANT fait une chute mortelle

Histoire de l’aviation – Janvier 1910 – Le Monoplan John-Moisant
Carte N° 87 – Photo S.A.F.A.R.A reproduction interdite
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LA MORT DE MOISANT. La Nouvelle-Orléans le samedi 31 décembre à 10 heures du matin John MOISANT fait une chute mortelle sur le champ d’aviation de Harahan. Ce terrain d’aviation est une langue de terre à l’est du Mississipi entre le fleuve et des marécages. Au-dessus de cette langue de terre les remous d’air sont continuels. Paulhan et d’autres aviateurs expérimentés se défiaient de cet aérodrome. Moisant, concurrent de la coupe Michelin, fit un vol d’essai sur un appareil de type monoplan Blériot  Au moment de l’atterrissage, un vent  Continuer la lecture

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l’Histoire de l’aviation – En Janvier 1910 – l’Aéroplane Le Bleriot – Queue de Pigeon

l’Histoire de l’aviation - En Janvier 1910 - l'Aéroplane Le Bleriot - Queue de Pigeon

l’Histoire de l’aviation – En Janvier 1910 – l’Aéroplane Le Bleriot – Queue de Pigeon

l’Histoire de l’aviation – En Janvier 1910 – l’Aéroplane Le Bleriot – Queue de Pigeon
Carte N° 86 – Photo S.A.F.A.R.A reproduction interdite
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En 1910, le nouveau monoplan « Blériot XI bis » à deux places, moteur Gnome 50 chevaux, à fuselage raccourci et empennage horizontal en queue de pigeon.
Voici les caractéristique que l’on pouvait lire en 1910 sur les aéroplanes Blériot Type XI bis une place et 2 places. Le Type XI bis, une place avait une surface portante de 15 m2 pour une envergure de 9 m. Projection horizontale des ailes, trapèze à côté arrondi. Largeur des ailes 2 mètres. Disposition des ailes, horizontales ; Longueur totale de

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Histoire de l’Aviation – Janvier 1910 l’Aéroplane Monoplan Barillon

 

Histoire de l'Aviation - Janvier 1910 l'Aéroplane Monoplan Barillon

Histoire de l’Aviation – Janvier 1910 l’Aéroplane Monoplan Barillon – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Histoire de l’Aviation – Janvier 1910 l’Aéroplane Monoplan Barillon
Carte N° 85 – Photo S.A.F.A.R.A reproduction interdite
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Voici les Caractéristiques  de ce monoplan Barillon . Avec des ailes trapézoïdes de 2 m 32 de longueur antéro-postérieure à l’aisselle et 1 m 50 aux extrémités, qui sont munies de patins. Gauchissement par palonnier horizontal, situé sous le fuselage, de tout le bord arrière de l’aile, progressif jusqu’à l’extrémité. Envergure de 9 m. 40. Longueur totale de l’appareil 8 mètres pour une surface de 19m2 et pour un poids monté et approvisionné pour une heure de 330 Kilos. Fuselage de section quadrangulaire, sur lequel le siège du pilote est Continuer la lecture

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l’Histoire de l’aviation – Édouard Nieuport décède le 16 septembre 1911

l'Histoire de l'aviation - Édouard Nieuport décède le 16 septembre 1911

l’Histoire de l’aviation – Édouard Nieuport décède le 16 septembre 1911 – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

l’Histoire de l’aviation – Édouard Nieuport décède le 16 septembre 1911
Carte N° 84 – Photo S.A.F.A.R.A reproduction interdite
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Le 15 septembre 1911, l’aviateur et constructeur Édouard Nieuport  est victime d’un accident terrible. Parti le matin de Châlons sur son monoplan, Nieuport atterrissait à Charny après un excellent voyage, malgré les rafales de vent qui soufflaient. Sur la demande du colonel Estienne et malgré le vent violent, l’aviateur reprit les airs, et, après quelques virages effectués au milieu de l’admiration de tous, Nieuport en faisait un dernier pour revenir à son point de départ, lorsque tout à coup l’aéroplane sembla ne plus être soutenu par l’aile située à l’intérieur du virage, l’appareil piqua vers le sol, Nieuport coupa l’allumage et le monoplan Continuer la lecture

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