Carte postale Ancienne – Une ferme d’autruches à Nice – La récolte des oeufs

Une ferme d'autruches à Nice - La récolte des oeufs

Une ferme d’autruches à Nice – La récolte des oeufs

Une ferme d’autruches à Nice – La récolte des œufs – Un écrivain jadis préconisait « l’art d’élever les lapins et de s’en faire 15.000 francs de rente. Un industriel californien avisé eu l’idée de pratiquer l’art d’élever les autruches et d’en tirer plusieurs fois autant. C’est dans les environs de Nice sur un terrain de 15000 m2 que s’élevait la ferme. C’est en 1902 que l’élevage commença avec vingt-cinq oiseaux venus de la Californie et sept venus d’Abyssinie. Ces trente-deux bêtes donnèrent naissance en 5 ans à cent dix-huit autres. Cela procura très vite un joli bénéfice à l’intelligent et audacieux éleveur. Il faut dire que la nourriture d’un volatile revenait à peu près à 3 francs par mois et coûtait, tous frais compris, 70 francs par an, mais chaque oiseau rapportait bon an mal an mille francs de plumes. Si l’on considère que l’autruche jouit d’une robuste santé et produit des plumes jusqu’à l’âge de Continuer la lecture

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1 FRANCS – CHAMBRE-DE-COMMERCE-DE-NICE

1 FRANCS - CHAMBRE-DE-COMMERCE-DE-NICE

1 FRANCS – CHAMBRE-DE-COMMERCE-DE-NICE

Un franc – Chambre du commerce de Nice – Alpes Maritimes
Les Célébrités
édition des Petites Affiches de Normandie, Rouen
B. Sirven, Imprimeur, Toulouse-Paris
Dos séparé – Non circulé
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Carte postale sur une série de plus de 70 cartes postales en ma possession sur le thème des séries des Petites affiches de Normandie,
Célébrités : Carle, Vanloo, Bréa, Aubry, Lecomte, Masséna, Garibaldi, Comte de Casabianca, Marquis de Vogüé. 

Voici le lien de la cartoliste que je viens de commencer, bien sur j’espère votre aide pour pouvoir la compléter, voire la terminer. CARTOLISTE

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Nice – l’Église Saint-François-de Paul et l’Opéra

Nice , Saint François de Paule - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

18   –   Nice – l’Église Saint-François-de Paul et l’Opéra

éditeur B.F,Paris

Dos séparé -circulé à découvert en 1905

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A quelques mètres des portes de l’opéra et de l’église Saint François de Paule cette rue était  bien connue aussi des niçois pour son célèbre marché aux fleurs.

Le petit garçon sur le devant de la carte attire tout de suite l’attention, mais derrière lui la vendeuse de fleurs parle à une femme portant une très chic tenue.

A la droite de cette femme tenant un panier d’osier marche à mon avis une domestique qui porte les courses de Madame.

Rien d’étonnant pour l’époque, de nombreuses familles aristocratiques ou bourgeoises se devaient d’avoir recours aux services de bonnes à tout faire et de domestiques divers. 

Ces bonnes à tout faire venaient très souvent du milieu paysan et c’est leur propre famille  qui pensait que la domesticité de leur fille pourrait les aider financièrement.

Il est vrai qu’à cette époque les salaires d’usines ou de fermes étaient peu élevés et l’idée d’être payée nourrie et logée attirait de nombreuses jeunes femmes à la ville.

L’idée d’un beau mariage avec une personne de la ville n’était pas à écarter, mais si un mariage ne se faisait pas il était toujours possible de revenir au pays pour se marier et aider la famille avec les économies de plusieurs années de servitudes de

« bonne à tout faire ».

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