Levallois-Perret – La Rue de Courcelles en 1901

Levallois-Perret-la Rue de Courcelles

Levallois-Perret-la Rue de Courcelles-Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

133 -Levallois-Perret – La Rue de Courcelles 
éditeur C.M  ( éditeur Malcuit)
dos séparé – circulé sous enveloppe le 4 juin 1907
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Un petit tour à Levallois-Perret commune des Hauts-de-Seine dans les années 1900.
Au premier plan la Papeterie de Courcelles vend des cartes postales, la Gazette et le Républicain, un peu plus loin sur le même trottoir au numéro 41 le Restaurant Hallet et au 43 bis l’épicerie de la famille Petit.
Un petit détail sur l’éditeur de cette carte postale C.M., Sous ces deux initiales se cachait la maison « Malcuit », installé 3 rue Bourdaloue . Ces artistes éditeurs signèrent leurs cartes par les initiales C.M. ou E.M.

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Bébé Collectionneur de Cartes Postales

Bébé collectionneur de cartes postales

Bébé collectionneur de cartes postales

GB 481. Bébé collectionneur 
éditeur,GrandBazar,Tours 
dos séparé -circulé en 1906
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Eh oui, aujourd’hui c’est mercredi le jour des petits enfants à la maison …et voila ce qui arrive quand on laisse trainer ses albums de cartes postales… !

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Châteaudun – Phototypie Laussedat – Atelier des Machines

28-Châteaudun-Phototypie Laussedat – Atelier des Machines – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Châteaudun – Phototypie Laussedat – Atelier des Machines

Dos séparé -non circulé

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Voici une carte peu courante et intéressante pour les collectionneurs de cet éditeur, on y voit l’intérieur de l’imprimerie Laussedat installée à Châteaudun.

Cette imprimerie a participé à de nombreuses éditions de cartes postales, certaines d’entre telles sont bien cotées.

À cette époque de l’âge d’or de la carte postale, les imprimeries spécialisées dans ce domaine ne chôment pas, c’est par millions que ces petits bouts de cartons de 14 cm par 9 cm vont sortir des ateliers.

Les cartes postales étaient constituées de 3 feuillets, le papier utilisé le plus souvent pour la phototypie était un papier laminé à grain ou à demi-grain;

La majorité des cartes postales de cette époque ont été imprimées par ce procédé aujourd’hui quasiment abandonné …!  Bien dommage ..  le résultat était pourtant si beau. Le principe avait été trouvé par Alphonse Poitevin en 1860 sous le nom de « photolithographie », le principe reposait sur la sensibilité à la lumière de la gélatine associée au bichromate de potasse.

je ne vous détaillerai pas toutes les étapes de ce procédé, mais pour simplifier on utilisait une plaque de verre recouverte d’une couche de gélatine bichromatée, le procédé consistait ensuite à mettre un cliché photographique sur verre en contact avec la plaque gélatinée et le passer sous une lumière ultraviolette. Après un long rinçage à l’eau et un bain de glycérine, la plaque passait sous un rouleau d’encre grasse avant d’être mise sur le plateau de la presse. Cette technique permettait rarement de produire plus d’un millier de cartes postales par plaque de verre.

 

 

 

 

 

 

 

 

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