Carte Postale Ancienne – Boulevard de Grenelle pris de la rue Violet – les écoliers en 1900

Carte Postale Ancienne - Boulevard de Grenelle pris de la rue Violet

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Boulevard de Grenelle pris de  la rue Violet 
éditeur HF
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Comme très souvent à la belle époque, les enfants sont au rendez-vous du photographe et posent au beau milieu de la rue en toute sécurité…le tramway est passé et aucun attelage à l’horizon. Mais parlons un peu de ces enfants de Paris en 1900. L’école primaire communale à cette époque acceptait les enfants de 6 ans à 13 ans révolus. Un acte de naissance et un certificat de vaccin étaient demandés. Le cours élémentaire était pour les enfants de 7 à 9 ans, le cours moyen de 9 à Continuer la lecture

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Tout Paris – Ecole Centrale – vue prise de la rue Turbigo

Tout-Paris-Ecole-Centrale-vue-prise-de-la-rue-Turbigo

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Tout Paris – 106 –  Ecole Centrale  ( III arrt ) – vue prise de la rue Turbigo
éditeur Collection F.Fleury 
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La rue Turbigo dans les années 1900 et la rue Montgolfier où se trouve l’école centrale Paris, ou tout simplement centrale, mais le nom officiel est École centrale des arts et manufactures. Située au 1 de la rue Montgolfier, l’école est fondée en 1829 pour former des ingénieurs pour l’industrie et les services publics. En 1900 l’admission se fait par concours ( 2 par an « juillet et octobre ») en adressant sa demande au directeur de l’école avant le 20 juin ou le 10 septembre. L’âge minimum pour s’inscrire est de 17 ans et il vous sera demandé de fournir un certificat de moralité et un certificat de vaccination. Le nombre d’élèves est de 680 et la durée des études sera de 3 ans avant de recevoir le diplôme d’ingénieur des arts et Manufactures.

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Arcueil-Cachan – Ecoles communales du Centre – Groupe scolaire Jules Ferry

Arcueil-Cachan - Ecoles communales du Centre

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Arcueil-Cachan – Ecoles Communales du Centre
éditeur ELD
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Arcueil-Cachan ne fait qu’un en 1913 car la ville de Cachan avant 1923 n’était encore qu’un quartier de la commune d’Arcueil. À cette époque Arcueil-Cachan est un arrondissement de sceaux et canton de Villejuif. Les 11229 habitants sont administrés par le maire Mr Trubert aidé par son secrétaire de Mairie Mr Moitié. L’école du Centre que l’on voit sur cette carte postale, deviendra le grand groupe scolaire Jules Ferry…ce bâtiment se situe aujourd’hui rue Émile Raspail ( D258). 

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Alfortville – Ecole communale de la rue Villeneuve

Alforville-école-communale-de-la-rue-Villeneuve

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12 – Alfortville ( Seine) – Ecole communale de la rue Villeneuve 
éditeur, Cautrot , Ivry – dos séparé 
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En 1910 Alfortville est un arrondissement de Sceaux canton de Charenton et compte 17 362 habitants. Le maire est monsieur Cuillerier, le secrétaire de Mairie monsieur Fayard et le receveur Municipal monsieur Veillard. Paris compte en 1900 un peu plus de 243000 écoliers de 6 ans à 13 ans. Le cour élémentaire accepte les enfants de 7 ans à 9 ans, le cours moyen des enfants de 9 à 11 ans et les cours supérieurs de 11 à 13 ans. Les heures de cours par semaine sont au nombre de 30h et les vacances sont au nombre de 6 semaines.   ( plan en réponse à la question d’Evelyne ) 

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Bordeaux – Jeunes Filles – La sortie des élèves du Lycée 57 Rue de la Croix Blanche

Bordeaux-Lycée-de-Jeunes-Filles.

Bordeaux-Lycée-de-Jeunes-Filles.

10  –  Bordeaux – Lycée de Jeunes Filles
Rue de la Croix Blanche –  La sortie des élèves
Collection Gorce, photo éditeur, Talence ( Gironde)
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La sortie de ces jeunes filles lycéennes sur cette carte postale n’était pas si courante à cette époque, il aura fallu attendre les années 1880 pour voir ce genre de situation. Je m’explique, avant 1880 l’enseignement secondaire public est réservé uniquement aux garçons, mais la lois promulguée le 21 décembre 1880 par le Président de la République Jules Grévy et contresignée par Jules Ferry change les moeurs des Français et les jeunes filles à cette époque peuvent enfin entrer au lycée. C’est sur examen que ces jeunes demoiselles âgées au minimum de douze ans révolus seront admises à la première des cinq années d’instruction secondaire.  

 

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