Ateliers de la société L’éclairage électrique – Première Travée

carte postale ancienne - l'éclairage électrique inondation de 1910

Ateliers de la société L’éclairage électrique – Première Travée

Ateliers de la société « L’Eclairage Electrique » Inondation du 28 Juillet 1910 Première Travée
dos séparé – non circulé
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Continuons de voir comment fonctionne l’électricité à Paris en 1900, hier j’ai parlé de  la compagnie EDISON mais en 1900 on compte 7 compagnies ou sociétés. La puissance totale des usines centrales est de 15 à 16 000 chevaux ou 10 à 12 000 kilowatts. La totalité de la longueur des câbles dans les rues de Paris est de 1 500 kilomètres, équivaut à 5 millions de kilogramme de cuivre. 6 500 personnes emploient le courant des usines centrales. 6 219 lampes à arc sont installées et 425 000 lampes à incandescence de 10 bougies. A l’exclusion Continuer la lecture

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Ateliers de la société L’éclairage électrique – Inondation du 28 Janvier 1910

l'éclairage - électrique  de 1910

l’éclairage – électrique de 1910

Ateliers de la société « L’Eclairage Electrique » Inondation du 28 Juillet 1910
dos séparé – non circulé
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Voici la première carte d’une série de sept Cpa des ateliers de la société de l’éclairage Électrique. Ces cartes vont illustrer un texte qui expliquera comment fonctionnait l’électricité à Paris en 1900. En ce qui concerne ces ateliers inondés en 1910 ils étaient situés au 364 rue Lecourbe à Paris. 

PARIS a donné le premier exemple de l’Eclairage électrique public. En 1877, l’Av. de l’Opéra était éclairée par des bougies Jablochkoff. La ville anglaise de Godalming inaugura  l’éclairage des rues et maisons en Continuer la lecture

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Lyon – Ateliers Otis-Pifre – Ascenseurs et Monte-Charges

 

Lyon-Ateliers Otis-Pifre-Ascenseurs

Lyon – Ateliers Otis-Pifre – Ascenseurs

Ateliers Otis-Pifre 
Société Anonyme – Capital 6.000.000  – Paris – Albert (Somme)
Agence de Lyon – Bureaux et Ateliers : 28 bis , Rue Dumoulin 
Dos séparé – non circulé 
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C’est en 1853 que la société OTIS a été fondée aux USA par Elisha Graves Otis ( 1811/1861), mécanicien de métier et inventeur de l’ascenseur moderne. C’est au début des années 1900 que la Compagnie Otis va fusionner avec la société Abel Pifre pour donner naissance à Otis Pifre Ascenseurs, monte-charge, escaliers roulants. Il existe d’autres cartes postales des ateliers de Lyon où le prénom Abel a disparu de la façade. Même si Otis reste le grand inventeur de l’ascenseur moderne, c’est un Français ( Léon Edoux 1827/1910) qui Continuer la lecture

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29 Juin 1936 – Les ouvriers de l’atelier en grève lèvent le poing

les grèves de 1936

29 Juin 1936 – Les ouvriers de l’atelier en grève lèvent le poing – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Carte photo du 29 juin 1936 – Les ouvriers de l’atelier en grève lèvent le poing
dos séparé – non circulé

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Il ne m’a pas été facile de dater exactement cette carte photo, mais grâce à l’agrandissement du journal « l’humanité » tenu par deux des ouvriers de cet atelier, j’ai pu retrouver cette première page… la voici

Journal-de-L'humanite-du-29-juin-1936

Journal de L’humanité du 29-juin-1936

Voici ce que l’on pouvait lire en première page ce jour du 29 Juin 1936 sur l’humanité ( organe central du Parti Communiste) … Cinquante mille poitrines ont entonné le chant généreux de la « Marseillaise » et de « l’internationale » réconciliées. 

« Nous avons renouvelé la Fraternité populaire de 1789-92 » s’écriait hier, au gymnase Huygnens, devant tes délégués de 250.000 Français antifascistes, un radical du rang, Grosclaude. 

« Voici réconciliées la République et les traditions de la grande Révolution ! »
lançait, à la même heure ; devant la statue de Rouget de Lisle à Choisy, le ministre radical Pierre Cot. 

Voila donc affirmée encore la grande unité retrouvée de notre Histoire répondant aux mâles accents de la Liberté chérie. Et cette déclaration est faite devant une foule de peuple qui en atteste sur le champ la vérité, sous un soleil aussi chaud qu’à la fête de la Fédération, 146 ans plus tôt ! 
Là, sous les drapeaux tricolores et rouges, battaient du même rythme, aux éclats glorieux de la Marseillaise et aux accents fervents de l’Internationale, cinquante mille cœurs, celui de l’ouvrier communiste de cette banlieue – nouveau faubourg de l’ardent Paris – et celui du, sénateur Steeg, vétéran du parti radical. Continuer la lecture

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