Mesnil-Mauger ( Calvados) Les Lys Blancs en 1910

Mesnil-Mauger-Les-Lys-Blancs.

Mesnil-Mauger ( Calvados) Les Lys Blancs – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Mesnil-Mauger ( Calvados) Les Lys Blancs 
Fillion photo, Lisieux 
dos séparé – circulé à découvert en 1910
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Mesnil-Mauger en 1910 est une petite ville du calvados qui compte 362 habitants administrés par son maire Monsieur Bardel (L). Les cidres et l’eau-de-vie sont l’affaire de la fabrique de Louis Bardel de Martin, Martine (G) et Renault Alfred. Les marchands de pommes à cette époque sont Mr Bernier et Mr Thébauld. J’ai bien essayé de retrouver avec Google-Maps cette maison, mais de Saint-Loup-de-Fribois à la résidence du Champ Fleuri de Mesnil-Mauger en suivant la D154…rien à faire. Bien sur si vous savez où se trouve exactement cette maison ( Les Lys Blancs), merci de me laisser un commentaire.

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Charenton – Porte de Bercy en 1900

Charenton -Porte de Bercy

Charenton – Porte de Bercy – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

20 – Charenton – Porte de Bercy 
éditeur ELD ( Ernest Louis le Deley )
dos séparé – circulé à découvert le 5 mai 1917 
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Fin du XIXe siècle, les entrepôts occupent une superficie de 42 hectares entre le quai de Bercy, le boulevard de Bercy, la rue de Bercy et le boulevard Poniatowski. Jusque vers les années 1950, les entrepôts sont en pleine activité.La Ville de Paris décide dans les années 60, dans le cadre du rééquilibrage de l’Est parisien, de ne plus renouveler les contrats de location aux 400 marchands. Ce lieu mythique se vide progressivement et les négociants partent pour la plupart s’installer en banlieue. Dans les années 80, les entrepôts sont progressivement détruits et vont être remplacer par

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Tout Paris – Panorama du Cimetière du Père Lachaise

Tout-Paris-Panorama-du-cimetiere-du-pere-lachaise

Tout Paris – Panorama du Cimetière du Père Lachaise

Tout Paris – 1229 – Panorama du Cimetière du Père Lachaise  coté de l’avenue Gambetta XXe arrt
Collection F.Fleury
Dos séparé-circulé à découvert en 1907
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La Loi du 23 Prairial de an XII ( 10 juin 1794) interdisait d’ouvrir des Cimetières dans les enceintes des villes. Des accidents, des épidémies, des empoisonnements pouvaient être provoqués par la proximité du Cimetière. En 1900 les Cimetières étaient répartis en 7 Circonscriptions : 1er (de l’Est) : Père-Lachaise, La Villette, Belleville, Charonne, Bercy .  2 e (du Nord) : Montmartre, Batignolles, Montmartre-St-Vincent-Montmartre- Calvaire.  3 e (du Sud) : Montparnasse.  4e : Pantin.  5e : Bagneux.  6e : St-Ouen. 7e ; Ivry.. Chaque Cimetière était administré par un Conservateur et sous sa Direction, 1 Receveur, des Commis, 1 Géomètre, des Gardes et des Fossoyeurs. Les Gardes étaient au nombre de 135, dont 15 Sous-Brigadiers et 5 Brigadiers.  Le nombre des tombes dans les Cimetières de Paris étaient par an, en moyenne de

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Ecole normale de Gymnastique de Joinville en 1900 – Les Moniteurs – Jeux de l’Ours

Carte postale Ancienne-Ecole normale de Gymnastique de Joinville-10

Ecole normale de Gymnastique de Joinville en 1900 – Les Moniteurs – Jeux de l’Ours Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

10 – Ecole normale de Gymnastique de Joinville -Redoute de la Faisanderie – Groupe d’officiers au portique
Ptototypie A. Breger Fréres 9 rue Thénard Paris – dos simple – non circulé
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Le sport entre timidement à Joinville, à partir de 1906, la boxe, l’escrime, la natation, le canotage et le cyclisme… ne sont pratiqués que par les officiers que l’austère gymnastique rebute. Des Joinvillais s’illustreront dans les compétitions d’athlétisme (Lemaitre, steiner, Baissac…) et dans le très prisé Concours de l’athlète complet, remporté en 1914 par phénoménal Géo andré sur un lot de 2 750 postulants dont cinq Joinvillais qui se classent derrière lui. Joinville est ainsi partagée entre deux idéologies opposées, celle de la gymnastique patriotique pour une préparation guerrière et celle Continuer la lecture

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Ecole normale de Gymnastique de Joinville en 1900 – Moniteurs à la barre Fixe

Ecole normale de Gymnastique de Joinville en 1900 – Groupe d’officiers au portique

Ecole normale de Gymnastique de Joinville en 1900 – Groupe d’officiers au portique

6 – Ecole normale de Gymnastique de Joinville  – Moniteurs à la barre Fixe
Ptototypie A. Breger Fréres 9 rue Thénard Paris – dos simple – non circulé 
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La «loi George», du 27 janvier 1880 instaure la pratique obligatoire de la gymnastique à l’école primaire. La France ne possédant aucune école spécialisée pour former des enseignants, Joinville prend en charge ce besoin d’instruction publique. Le Certificat d’aptitude à l’enseignement de la gymnastique (CaeG), délivré par l’école, permet à bon nombre d’anciens militaires d’intégrer la gymnastique (CaeG), délivré par l’école, permet à bon nombre d’anciens militaires d’intégrer l’enseignement. Joinville exercera, de fait, une réelle influence dans le domaine de l’éducation.( insep)     
 

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