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Carte Photo
Dos séparé – non circulé
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Ou s’est bien arrêté le camion » le train Bleu »
Les jeunes demoiselles sont accompagnées par le prêtre à qui rien n’échappe !
Le pèlerinage des Grandes chartreuses ,un classique pour les croyants et non croyants tellement le paysage est beau !
« Si vous reconnaissez l’endroit ou se trouve le camion merci de me laisser un commentaire »
merci à vous !
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3020. Paris – (XIé arrt) – Boulevard Voltaire à la Rue Richard Lenoir
Éditeur , F.Fleury
Dos séparé – non circulé
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Encore une carte du quartier de mon enfance .
A mon époque la pharmacie avait disparu et avait été remplacée par une banque.
A droite la rue Richard Renoir ou j’ai vécu plus de 20 ans , au milieu de cette rue se trouve le gymnase Japy ,endroit mythique ou j’allais avec mon père et mon frère voir les combats de boxe amateurs.
Un peu plus loin dans la rue le café de la mère Gaby ,ou j’ai bu mon premier boc de bière panaché , par la suite j’ai retiré la limonade pour ne boire que la bière !!!
Et tout au bout, la rue Charonne et son palais de la femmes .
souvenirs , souvenirs !
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31 – Tout Paris – Avenue Parmentier (Xe et XIe arrts)
Collection Fleury
Dos séparé – circulé à découvert en 1904
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Marchandes des quatre saisons, voitures à bras, attelages, petits métiers font de cette avenue Parmentier un endroit populeux de Paris.
Originellement l’avenue s’étendait de la rue du Chemin-Vert à la rue Saint-Ambroise, mais l’avenue a connu plusieurs extensions de 1857 à 1887 allant jusqu’à s’étendre de la place Léon-Blum à l’avenue Claude-Vellefaux.
Bizarrement, enfant j’étais persuadé que l’avenue Parmentier au même titre que le boulevard voltaire était des rues ou habitaient les riches ,moi le petit parisien qui habitait dans la petite rue « Richard Lenoir » rue populaire de Paris.
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Brosses – La Place
Édition Ogliotti
Cliché Ismaël ,Sens
Dos séparé -circulé à découvert en mai 1917
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Petit village à 22 kilomètres d’Avalon abritant 640 âmes en 1911 .
Le maire de cette époque est Monsieur Potdevin : (pour un bourguignon cela tombe bien) .
les cafés ne manquent pas on en compte pas moins de 5 , ( Basté , Douillet , Moreau , Poulin , Sautreau , )
le boucher est monsieur Gaillard ,le boulanger Monsieur Moreau
Comme dans beaucoup de villages de l’époque il y a bien entendu , le sabotier qui se nomme Monsieur Pautre.
Et le rôle du tonnelier dans un pays de vin est tenu par Monsieur Sautreau .
Enfin ,tout ce petit monde faisait le beau petit village de brosses en 1911.
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Dijon – Hôtel de la cloche et Statue de Rude
J.gerin ,édit , 7 pl, Darcy, Dijon
Dos séparé – circulé à découvert le 05/09/ 1907
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L’histoire de la Cloche est indissociable de celle de Dijon.
Véritable monument dijonnais, Fleuron de l’hôtellerie et symbole depuis des décennies de l’art de vivre bourguignon.
Les années 70 sonneront le glas de la belle époque ou les têtes couronnées et les plus grands artistes étaient tous clients de la Cloche.
Mais La clientèle fortunée se fait rare, et la Cloche ne teinte plus aussi loin, et aussi fort.
La vente est décidée en 1973, la démolition est prévue et les bulldozers sont prêts à rentrer en action.
Mais l’affaire a pris une ampleur et recours et pétitions suspendent l’action des bulldozers.
Et le 29 octobre 1975 le secrétariat d’Etat à la Culture inscrit la façade et les toitures de la Cloche à l’inventaire supplémentaire des Monuments historiques,
La Cloche est sauvée !
Un groupe financier rachètera le fond et les murs, mais passera la main en 1984 à la famille Jacquier qui perpétuera les traditions et le savoir faire qui ont été le fer de lance de la Cloche.
En 1994, l’établissement intègre la chaîne des hôtels Sofitel.
Site de la cloche